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à PROPOS

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les valeurs qui nous animent
ENVIRONNEMENT
Faire notre part du colibri avec conscience en diminuant nos émissions de CO2
INNOVATION
Apporter à la mobilité une dimension sécurité, dans une conception résolument innovante
EXCELLENCE
Que ce soit dans la finesse de la réalisation ou dans notre relation client, nous visons d’aller au-delà de vos exigences
RESPECT
Respecter nos partenaires et fournisseurs dans leurs délais et leur rémunération
HUMAIN
La notion d’équipe, de plaisir, de respect devra toujours primer sur les notions de profit et rentabilité
TRANSPARENCE
Nous voulons une relation honnête, ouverte et sincère
Muse Rolling, c’est avant tout une aventure humaine et partagée.
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THIERRY
NICLOUX
Naissance : 7 juin 1967 à Rennes, en Bretagne, France
Habite à côté de Genève
Marié, 3 enfants
La première question à lui poser, c’est de savoir comment lui est venue l’idée de Muse Rolling bien sûr !


« J’ai toujours eu un profil ‘’out of the box’’, j’aime faire les choses différemment, de manière un peu décalée. En 2007 déjà, j’étais parmi les premiers à me déplacer en trottinette et je n’en trouvais pas qui soit fabriquée en Europe. Maintenant on en voit partout, alors j’ai cherché autre chose. »


Thierry se déplace beaucoup pour sa vie professionnelle. Depuis toujours, il cherche l’option la plus adaptée et écologique possible. Soucieux de la nature et de l’environnement, il garde à l’esprit une réelle volonté de préserver sa planète. Comment cela se concrétise ? Il ne prend pas l’avion pour les vacances, sa voiture personnelle roule au gaz, et dès qu’il le peut, il privilégie la moto. Ou alors, il voyage le plus possible en train. Et qui dit train, dit petites distances à parcourir, entre la gare et ses lieux de rendez-vous. Certains les feraient à pied ou en transports publics. Thierry, lui, ces distances il les parcourt en longboard. Il gagne du temps, sans jamais dépendre d’un horaire de bus ou de tram.

En ce qui concerne le frein, l’histoire est plus personnelle. Pour ses clients, Thierry se doit d’être élégant. L’idée du système de freinage répondait donc au désir de se déplacer de manière fluide et écologique, sans restant « business » en freinant sur le bitume.

De plus, à 16 ans, son fils a subi un accident grave en skateboard. Avec un frein, la chute aurait certainement pu être évitée. Depuis, en terme de sécurité, pour Thierry, un frein s’avère indispensable et ouvre un champ d’application pour de nouveaux utilisateurs, ces adultes citadins actifs.

D’origine bretonne, Thierry a grandi avec la mer. Point commun du longboard et de la navigation ? La douceur, la glisse, la fluidité.


Qu’aimeriez-vous apporter avec ce produit ?


« Muse Rolling, c’est ma nano-contribution à des déplacements propres. L’entreprise m’apporte la possibilité de nourrir mes valeurs, que je vous liste pêle-mêle : écologie, local, qualité, beau travail, transparence, excellence. Cela me vient de mon parcours professionnel. En réaction au monde des multinationales et à la recherche constante et insatiable de profits. »



Et vous, le longboard Muse Rolling, comment l’utilisez-vous au quotidien ?


La planche est vraiment son outil de déplacement. Il s’en sert plusieurs fois par semaine pour aller travailler. Ici, on ne parle pas d’un jouet ou d’un loisir. Il s’agit d’un objet utile, qui facilite son quotidien. Le matin, il l’emporte, accrochée sur sa moto pour se rendre jusqu’à la gare. Pratique, mobile, sans payer de supplément dans le train, comme pour un vélo par exemple.

« J’aime bien l’idée du businessman qui roule en longboard. A 50 ans passé, je me sens comme un enfant-ado, pas tout à fait terminé. Et je n’en ai plus honte. Parfois, “on” sourie en me regardant, on me trouve un peu “original”. C’est tellement “classique” de trouver les autres “originaux”. Mais en fait qui est l’enfant dans tout cela ? »
OLIVIER
BRÉVAUX
Naissance : 17 décembre 1960 à Versailles, France
Habite à Saint Prex, Vaud, Suisse
Père de 3 grandes filles
La première question est de savoir pourquoi il a eu envie de s’associer à Muse Rolling ?


Du tac au tac, il répond « parce que ce n’était pas de l’informatique ! ». L’envie de se plonger dans un nouvel univers, de découvrir autre chose l’ont tout de suite attiré.

Cela fait de longues années qu’il pensait à créer sa propre société, mais il n’avait pas encore eu l’idée, et avait envie de le faire à plusieurs, pour partager, ne pas être seul dans l’aventure. L’idée de Thierry lui a d’emblée parue sympa. Elle semblait tellement innovante, il s’est dit « ça pourrait marcher ».

Ingénieur de formation, il a d’abord fait son premier diplôme en fabrication mécanique à l’école nationale d’ingénieurs de Saint-Étienne. Depuis ses 16 ans, il voue une profonde passion à tout ce qui touche à la mécanique. Les chemins de fer tout d’abord, surtout les locomotives à vapeur. Puis les camions, d’immenses 6×6 tout terrain. Il possède un atelier chez lui pour la fabrication, l’outillage, la réparation de ces gros véhicules qui l’électrisent. C’est d’ailleurs fantastique de l’écouter raconter toutes ces histoires de construction. « Tout m’intéresse, c’est ça le problème ! » ajoute-t-il, enthousiaste.

Il a fait ensuite l’école des Mines en génie logiciel informatique. Et c’est dans ce domaine qu’il effectuera l’ensemble de sa carrière professionnelle. Dans des multinationales et grandes entreprises dans le domaine informatique, puis pharma, et enfin bancaire.


Qu’aimeriez-vous apporter avec ce produit ?


« J’ai envie d’apporter ma pierre à l’édifice. » Il aime le fait qu’avec ce projet, il puisse procurer du plaisir aux propriétaires de leurs longboards. Car il apprécie aussi la beauté, les objets bien finis, propres, comme le seront les planches Muse. « Du bel ouvrage, un travail authentique et soigné » pour reprendre ses termes.

Lorsqu’on lui parle de mobilité douce, Olivier nous apprend qu’il ne possède plus de voiture en Suisse depuis plus de 10 ans. Il ne se déplace qu’en transports publics.

« Utiliser les transports en commun, c’est un choix. Ce n’est pas toujours facile, mais ça me convient bien. Je fais gaffe à notre environnement. » Le week-end par contre, il a régulièrement du matériel à transporter pour ses loisirs, et là pas le choix, il lui arrive d’utiliser son « jouet », un vieux 4X4 anglais. Mais seulement sur de petites distances.

En ce qui concerne le longboard Muse Rolling, il ne l’utilise pas au quotidien, comme Thierry.

« Je marche beaucoup, je prends le train, puis le bus, et ensuite je vais au travail à pied. J’ai une certaine frilosité en ce qui concerne les sports de glisse. Je suis plutôt Salsa ou natation. Je n‘ai jamais fait de skate, à peine un peu de ski. J’ai peur des gamelles que je pourrais prendre. Donc moi, pour rouler en longboard, il me faut un équipement de sécurité. »
GEORGES-HENRI
MEYLAN
Naissance : 19 janvier au Sentier
Habite à la Vallée de Joux, Suisse
Marié, 3 enfants, 10 petits-enfants
LA FONDATION PAUL-EDOUARD PIGUET A CHOISI D’APPORTER SON SOUTIEN AU LANCEMENT DE MUSE ROLLING, ET NOUS AVONS INTERVIEWÉ SON PRÉSIDENT, GEORGES-HENRI MEYLAN, AFIN QU’IL NOUS EXPLIQUE POURQUOI.


« Tout d’abord, c’est l’originalité du projet qui nous a interpellés, même si c’est quand même une activité un petit peu risquée. Nous avions déjà aidé des artisans de la Vallée de Joux, au lancement de leur activité. Cela nous semblait donc homogène. »


PAR RAPPORT À LA QUESTION DE LA MOBILITÉ DOUCE, IL CONSIDÈRE ÉGALEMENT QUE MUSE ROLLING POURRAIT ÊTRE UNE SOLUTION ADAPTÉE AUX BESOINS D’UN GRAND NOMBRE DE PERSONNES.


« À la Vallée, beaucoup de gens se déplacent et vont parfois loin pour aller au boulot. L’idée d’une mobilité qui dépense peu ou pas d’énergie est vraiment dans le trend actuel. Et il permettra certainement à beaucoup de gens de gagner du temps entre la maison et le bureau. »


Surtout que pour sa part, l’écologie et la sauvegarde de l’environnement sont des sujets qui font l’objet de nombreux doutes, qui soulèvent encore beaucoup de questions. Avec souvent de grands discours et peu d’actions.


À TITRE PERSONNEL, IL N’A PAS D’AUTRE CHOIX QUE D’UTILISER SA VOITURE.


Par contre, on peut choisir quel genre de voiture on possède, nous dit-il, pour aller dans le sens d’une meilleure conscience écologique. Quant à savoir si lui-même a l’intention de rouler sur un longboard Muse Rolling, il s’amuse et nous répond que ce n’est plus de son âge, il ne fait plus partie de cette cible de jeunes cadres dynamiques à qui la planche va plaire.


« À mon âge, il faut éviter de prendre des risques. Mais je pense même que je pourrais être du genre à essayer. Par contre, je vais le montrer à ma famille, mes enfants et mes dix petits-enfants, c’est sûr. »


Originaire de la Vallée de Joux, Monsieur Meylan est né au Sentier et y a vécu une grande partie de sa vie. Ancien CEO de la grande marque horlogère suisse Audemars Piguet, il préside aujourd’hui la Fondation Paul-Edouard Piguet, basée au Brassus, qui soutient des actions choisies qui visent à développer la Vallée de Joux. Que ce soient des sociétés économiques, le développement de nouvelles activités sportives, culturelles ou liées au tourisme, le projet Muse Rolling s’inscrivait entièrement dans leur vision.